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En 2019, les membres de l’ASPA entreprennent l’étude du terrier d’Arzon, un document de 434 feuillets, soit 868 pages, datant de 1548, conservé aux Archives départementales de Loire-Atlantique et demeuré jusqu’à présent inédit. Leur travail vient d’aboutir à la publication, sous la direction de Daniel Jean, d’un ouvrage très complet qui propose la transcription intégrale de ce terrier (ou rentier), qui représente un total de 1 600 000 caractères, accompagné de préfaces, d’une introduction, d’études toponymique et patronymique et d’un appareil de notes conséquent.
En 2019, les membres de l’ASPA entreprennent l’étude du terrier d’Arzon, un document de 434 feuillets, soit 868 pages, datant de 1548, conservé aux Archives départementales de Loire-Atlantique et demeuré jusqu’à présent inédit. Leur travail vient d’aboutir à la publication, sous la direction de Daniel Jean, d’un ouvrage très complet qui propose la transcription intégrale de ce terrier (ou rentier), qui représente un total de 1 600 000 caractères, accompagné de préfaces, d’une introduction, d’études toponymique et patronymique et d’un appareil de notes conséquent.
Dans son introduction, l’historien Dominique Le Page fournit un double éclairage sur le contexte historique des enquêtes qui ont conduit à l’élaboration du terrier d’Arzon d’une part, et, d’autre part, sur le travail exceptionnel qu’ont réalisé les historiens amateurs du cercle généalogique d’Arzon en vue de la publication du terrier. Il reprend la définition de ce dernier terme qu’avait donné son confrère Jean Kerhervé en 2013 lors de l’édition du rentier de Rhuys par La Maison forte, puis Morbihan, puis La Maison forte) :
« inventorier ce qui relevait de la directe du maître, établir un bilan administratif et comptable, rechercher et dénoncer les fautes éventuelles et les usurpations foncières, y mettre fin et procéder à de nouvelles adjudications pour accroître le revenu de la seigneurie. »
Fiche technique