Avoir une ascendance aristocratique peut permettre de progresser rapidement dans sa généalogie. Sources (baux, terriers...) et études généalogiques sont en effet nombreuses et peuvent, une fois bien sélectionnées, apporter une aide non négligeable.
Avoir une ascendance aristocratique peut permettre de progresser rapidement dans sa généalogie. Sources (baux, terriers...) et études généalogiques sont en effet nombreuses et peuvent, une fois bien sélectionnées, apporter une aide non négligeable.
Un vieil adage affirme que nous descendons tous d’un roi et d’un pendu. Si cela reste à prouver « documents à l’appui », il est certain qu’en cherchant bien, nous avons tous, à un degré ou à un autre, un quartier noble. Dans les registres paroissiaux, nous avons tous croisé, un jour ou l’autre, un seigneur ou une noble dame portant sur les fonts baptismaux l’un des enfants de la paroisse ; lorsque ce dernier est un ancêtre, on peut avoir envie d’en connaître plus sur l’identité de ce parrain ou de cette marraine. Parfois, nous avons vu nos aïeux prendre « à ferme » des terres appartenant au seigneur local ; là encore, on peut avoir envie d’en savoir plus. À l’inverse, lorsque l’on est bloqué dans ses recherches (registres paroissiaux et minutes notariales ne permettant pas d’aller plus loin), la consultation des archives de la et des famille(s) noble(s) positionnée(s) sur la paroisse peut s’avérer fructueuse : terriers, baux, reconnaissances, etc., sont autant de documents où peut soudain apparaître un ancêtre.